Après avoir obtenu son Diplôme de Métiers d'Arts à la prestigieuse Ecole Nationale de Lutherie, Monsieur B... a poursuivi son étude de la lutherie dans les plus grands ateliers italiens et français. Puis, conscient de son devoir vis à vis du monde, il a fondé Chez Strad en 2032, et ce afin de transcender toutes ces expériences, pour enfin offrir aux musiciens de tous pays les moyens de contribuer à l'harmonie universelle.
Sans une secrétaire très impliquée, pas d'atelier de lutherie efficace ! Vanessa Lyciante a été recrutée très rapidement Chez Strad, et ce pour deux atouts professionnels majeurs : elle est toujours souriante et a un vrai sens de l'écoute. Elle est un élément indispensable de notre entreprise !
Géronimo Spicati seconde Monsieur B... depuis les débuts de l'entreprise. Après avoir appris la lutherie en parcourant l'Italie, dans des ateliers prestigieux, il a rejoint l'aventure Chez Strad et participe fortement à la très bonne réputation de l'entreprise.
Henri Darçant, lui, a étudié la lutherie en France, et connais la lutherie du célèbre Vuillaume et des luthiers Vieux-Paris sur le bout des doigts. Il se fait fort d'apporter son savoir-faire hors du commun, pour porter l'atelier au niveau de ces luthiers, reconnus pour leur rigueur et leur soin dans le travail.
Ancienne scénographe d’opéra, Emma Gination a passé une décennie à créer des décors monumentaux pour les plus grandes scènes européennes. Un jour, à la Scala de Milan, lors d’une répétition de Don Giovanni, un violon Stradivarius oublié sur scène a attiré son attention. Éblouie, elle a eu une révélation : ce n’était pas la scène qu’elle devait mettre en valeur, mais les instruments eux-mêmes. Elle quitte alors le monde du théâtre pour se consacrer à la lutherie, et rejoint Chez Strad. Elle supervise aujourd’hui la programmation musicale au sein de l'atelier et certains choix esthétiques. C'est aussi elle qui s'occupe de mettre en valeur notre atelier grâce aux réseaux sociaux.
Julien Soreille a eu un parcours hors du commun : après un BTS Conception des Processus de Réalisation de Produits, il a travaillé dans la conception à la CNC de pièce de sous-marin très sensibles. Un jour, sa femme l'a forcé à l'accompagner à un concert, pendant lequel le soliste a joué des caprices de Paganini sur le violon "Il Cannone", réalisé par le célèbre luthier Guarneri del Gesù. Julien est alors tombé amoureux du violon et a recherché comment il pourrait travailler dans ce domaine... Il a alors croisé la route de Monsieur B..., par l'heureuse intervention de la providence. Depuis, il travaille d'arrache-pied pour que la lutherie du quatuor change la face du monde.
Jonathan Zobla est addict aux écrans depuis que son père lui a offert sa première tablette, à l'âge de 14 mois. À 5 ans, il commence à pirater des sites internet. À 8 ans, il est repéré par la DGSI, et est recruté pour déjouer les attaques informatiques en provenance de l'extérieur du territoire français. Grâce aux relations privilégiées qu'entretient Monsieur B... avec les autorités, Jonathan Zobla a bien voulu intégrer l'entreprise à mi-temps. Ainsi, les programmes nous permettant de fabriquer des violons d'après des mesures ancestrales, reflètent aussi l'excellence technologique française.
Quand Monsieur B... a cherché qui pourrait être son vernisseur, il a tout de suite décidé d'aller en voyage au Texas. Il lui fallait le meilleur pistolero de toute l'amérique. Au bout de trois jours de marche intense dans ces contrées désertiques, presque mort de soif, il a été sauvé d'une attaque de bandits de grand chemins par un inconnu, dont la moitié du visage était cachée d'un large chapeau. Il s'est présenté : "Bob Sixballs, l'homme le plus redouté de tout le Texas". Monsieur B... a tout de suite su que c'était l'homme qu'il lui fallait, pour avoir les vernis les plus homogénément appliqués de toute l'Europe. Il l'a alors convaincu de rejoindre son équipe, grâce à l'ampleur de la tâche proposée, et au défi titanesque que cela représentait pour Bob Sixballs. Celui-ci utilise aujourd'hui pleinement ses capacités balistiques, tout en les mettant au service d'une cause plus noble que de sombres réglements de compte.
René Toyant a toujours travaillé dans le milieu du vernis. Ce chimiste à la renommée internationale, a, après son doctorat en chimie, travaillé pendant près de 35 ans dans le milieu de l'ébénisterie de luxe. Il y cherchait les plus beaux vernis, et les colles qui alliaient les propriétés les plus recherchées : adhérence, résistances aux différents climats, résistance aux choc, vitesse de prise,... Aujourd'hui, c'est pour faire revivre le savoir-faire pluriséculaire des luthiers crémonais qu'il travaille désormais, nous permettant d'avoir des vernis et des colles cyanoacrylates dignes de Stradivarius !
C'est dans les rues de Crémone que Monsieur B... a un beau jour rencontré Enrico Geppoto, en train de peindre, du haut de ses 1 mètre 20. Il peignait des croûtes d'un goût pour le moins douteux. Mais, Monsieur B... ne l'a pas vu de l'oeil méprisant et hautain qu'il aurait pu avoir : il a su voir tout le potentiel que recelait ce personnage haut en couleur. Il l'a alors instruit du projet qu'il avait pour lui : faire la patine d'instruments sompteux tout droit inspiré de Stradivarius, Guarnerius, et toute la clique des luthiers crémonais. Honoré de ce projet, M. Geppoto a directement rejoint l'équipe. C'est désormais lui qui conçoit des patines en tout genre, que même les artistes les plus fou n'oseraient imaginer... Il faut dire que Monsieur B... lui laisse carte blanche !
Qui de mieux pour faire des archets de hautes qualités, que des apaches maîtrisant l'art de l'arc à la perfection. Voici nos archetiers : Dotheste, Lozen et Taza. Après avoir perdu la guerre et par la même occasion leurs terres contre les colons, ils se sont retrouvés inactifs. Monsieur B..., dans son entreprise universelle de triomphe de la musique, n'a pas manqué cet appel providentiel. Cependant, à peine ont-ils été contactés, que Dotheste s'est fâchée et n'a pas voulu collaborer, car cela impliquait de travailler avec Bob Sixballs. Celui-ci a du user de sa mémoire, et, après avoir jurer qu'il n'avait jamais combattu d'apaches de toute sa vie, nos archetiers ont intégré l'atelier. De l'archet baroque à l'archet romantique, tout en s'autorisant quelques arcs de chasse et de cérémonie, ils oeuvrent maintenant au sein de la partie archèterie de l'atelier.
Eustache Valais est un employé méticuleux et soigné. Cependant, il a du beaucoup lutté pour arriver au niveau où il en est aujourd'hui, car il est aveugle de naissance... Il "voit" tout aussi bien avec ses yeux et ses oreilles désormais ! Pour lui, une belle courbe de C signé Strad est quelque chose de très tangible, et, de par son sens du toucher hors du commun, c'est lui qui fait les finitons impeccables des violons de Chez Strad.
Le Signor Al Popote, notre principal fournisseur, tant en bois de pernambouc qu'en érable et en épicéa, n'est pas une personne dont on peut parler ouvertement sans risques. Si il fournit toujours le bois demandé, et du plus beau, en temps et en heure (avec facture bien évidemment !), il ne vaut mieux pas lui demander où il le trouve, car certaines choses ont mieux fait d'être tues, pour la perennnité de l'atelier.
Lia, personnage majeur de l'atelier Chez Strad, est une IA spécialement conçues pour la lutherie. Elle est imprégnée des esprits de tous les plus grands luthiers, et elle sait donc parfaitement quoi dessiner comme modèle pour quel client, et ce sur une base de plus de 5000 instruments enregistrés dans sa mémoire. Elle a ainsi acquis un coup d'oeil de luthier critique, et sait ce qui est beau ! C'est aussi elle qui gère la comptabilité et les questions clientes les plus simples au téléphone. Jonathan Zobla la bichonne au quotidien.
Nous avons récemment noué un heureux partenariat commercial avec Monsieur H..., gérant de l'atelier de restauration Chez Ivarius. Cet atelier Français situé à Marseille coopère avec nous pour suivre au mieux nos clients qui chercheraient à restaurer leurs instruments.